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Dans les années 60 alors que le LSD était encore légal, les utilisateurs le mettaient le plus souvent sur des morceaux de sucre afin de l’ingérer. Après son interdiction en Californie et au Nevada à la fin Mai 1966, les peines de prison étant proportionnelles au poids des substances illicites trouvées en leur possession, les fournisseurs eurent l’idée de mettre la substance sur du papier buvard perforé et décoré. Chaque morceau créé par les perforations, qui mesure en général un quart de pouce représentait une prise ou dose contenant 0.06 à 0.11 milligrammes soit 60 à 110 MICROGRAMMES de LSD. Albert Hofmann, le chimiste suisse de chez Sandoz qui découvrit les effets du LSD, considérait 250 microgrammes comme la quantité charnière pour en ressentir les effets lors de son expérimentation. En réalité de nos jours la quantité considérée comme charnière est de 20 microgrammes soit 12 fois moins que ce qu’il a pris lors de son expérimentation. Afin de faire une sorte de « branding» de leur produits et éventuellement aider les utilisateurs a reconnaître les dosages, des images furent imprimées sur les plaques de buvard, au début les premiers graphismes sur les buvards étaient très sommaires comme les fameux micro-point d’origine sur du papier chromatique qui n’avait rien à voir avec ceux des années 80. Photos blotterbarn.com Mark McCloud CollectionIl semblerait que l’apparition des premiers buvards date de 1972 mais très peu de documentation existe à ce sujet et certains écrits la font remonter jusqu’en 1967 dans les rues du Royaume Uni. |